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Chirurgie reconstructive

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    Chirurgie reconstructive

    Les tumeurs (ou lésions) cutanées sont des taches ou des excroissances de la peau de forme et de couleur variables, qui peuvent se trouver sur l’ensemble de la face ou du corps.

    Les tumeurs bénignes (comme certains grains de beauté) peuvent parfois se transformer et évoluer vers un cancer. Il est donc logique de les enlever préventivement. D’autres lésions sont purement bénignes et peuvent être retirées car elles sont gênantes, soit du fait de frottements ou pour des raisons purement esthétiques.

    Ce sont les cancers de la peau, qui doivent bien entendu être retirés. La chirurgie est bien souvent le seul traitement permettant d’obtenir une guérison complète. Le travail du chirurgien plasticien consiste à les enlever en totalité en obtenant un résultat le plus esthétique possible après l’excision. Ce qui a été enlevé sera systématiquement soumis à une analyse anatomo-pathologique (au microscope) afin de confirmer le diagnostic et de corroborer le fait que la lésion a été retirée en totalité.

    Une cicatrice est la partie visible d’une lésion de la peau après que le tissu se soit réparé suite à une incision au cours d’une intervention ou après une blessure.

    Il est impossible de faire disparaître complètement une cicatrice, que ce soit par la chirurgie ou par tout autre moyen (pommade, tatouage, peeling, laser…). Le but d’une reprise chirurgicale est de corriger ou de remplacer une cicatrice anormale par une nouvelle cicatrice, que l’on espère moins gênante et plus discrète.

    Dans la plupart des cas, on ne peut traiter que les cicatrices stabilisées au terme de leur évolution naturelle, qui est de 6 mois à 2 ans. En effet, la cicatrisation va se faire principalement en 3 phases. La première phase débute quelques jours après l’intervention avec une cicatrice belle et fine. Ensuite, au cours des 1 à 2 mois post-opératoires, elle devient plus rouge, dure, boursouflée et des démangeaisons sont fréquentes. Ce stade dure en moyenne 3 à 6 mois. La cicatrice rentre ensuite dans sa dernière phase, où elle commence à blanchir et à s’assouplir. De la même façon, les démangeaisons disparaissent. Au terme de ce processus plus ou moins long et imprévisible, la cicatrice est indélébile, blanche, souple et insensible.

    Il est important de comprendre que le traitement d’une cicatrice normale mais simplement élargie est très aléatoire car l’élargissement est souvent dû à un trouble de la cicatrisation, propre aux patients et indépendant de la technique chirurgicale.

    Dans les cas les plus simples, il suffit d’exciser la cicatrice défectueuse et de refermer avec une technique de suture parfaite pour espérer obtenir une nouvelle cicatrice plus discrète. Souvent, il est nécessaire d’avoir recours à un tracé d’incision spécial, visant « à briser » l’axe principal de la cicatrice initiale, à réorienter au mieux la cicatrice en fonction des lignes de tension naturelles de la peau et à diminuer ainsi la tension exercée sur les berges de la plaie.

    L’expansion cutanée est une technique parfois utilisée. Des ballonnets gonflables sont placés sous la peau saine avoisinante et permettent de la distendre au fur et à mesure du gonflement sur plusieurs semaines, voire plusieurs mois afin d’utiliser l’excédent cutané ainsi obtenu lors de l’ablation des ballons pour recouvrir la zone cicatricielle.

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